Armance Rotceig est une marque parisienne fondée par deux amies d'enfance : Armance Rotceig et Sarah Parent du Châtelet.

L'arrière grand-père d'Armance Rotceig a fondé la marque Weill et ses deux grands-pères étaient de grands fourreurs.

Formation :

Armance est diplômée de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne.
Parcours professionnel :

Christian Lacroix
Elie Saab
Barbara Bui.
2012 : Création de la marque Armance Rotceig par la créatrice et son amie d'enfance Sarah Parent du Châtelet (diplômée de l'Edhec Business School).


Armance et Sarah ont développé le concept de quatre vestes déclinées en autant de matières et de couleurs que le réclament nos désirs et nos besoins. Intemporelles, la veste armancerotceig se fond dans un environnement professionnel, mondain ou festif. Rock ou classique, sobre ou chamarrée, elle nous sublime dans nos différents moments de vie et nos différentes manières d'être. Fabriquées en France en petite série, le savoir faire haute couture est le cœur du concept. Suivent l’élégance et le grain de folie !
La marque armancerotceig est née de la rencontre entre la passion créatrice et l’esprit entrepreneurial de deux amies d’enfance !
Armance est passionnée de mode depuis sa première jupe. Après des études de stylisme à la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne, elle travaille en haute couture chez Christian Lacroix, Elie Saab et Barbara Bui. Dans son atelier s’amoncellent les prototypes, les matières et les patrons pour ses créations. Soies, cuirs, perles et plumes obéissent à ses visions et donnent naissance à la première collection armancerotceig.
Au talent créateur c’est alors associé l'esprit pratique de Sarah, diplômée de l'Edhec Business School. Le pied mis à l'étrier en finance chez Hermès, Sarah s'éprend de l'univers de la mode.
D’une histoire d’amitié sur les bancs du lycée à la folle aventure de la création d’une marque, leur ambition de rendre à la veste la place qu’elle mérite dans la garde robe des femmes a fait son chemin.

« J’ai retourné ma veste le jour où je me suis aperçu qu’elle était doublée de vison. » Serge Gainsbourg